Découvrez vos nombreux avantages et les tarifs de nos cours sur demande.
Parmi vos avantages :
- Pour les adhésions annuelles, vous pouvez régler en 5 fois
- Possibilité de se faire rembourser son adhésion annuelle :
Le Centre Dooplé (Centre de Ressources de Pédagogie et de Recherche pour la Création Africaine) étant un organisme de formation continue, enregistré auprès du Préfet de Région d’Île-de-France, vous pouvez vous faire rembourser par votre employeur ou d’autres organismes.
A découvrir !
En complément de nos cours réguliers accompagnés de musique en live, voici un Album conçu pour tout PUBLIC et pour les ENSEIGNANTS.
Cet Album vous donne des clefs pour partager le plaisir de la danse africaine !
Plus d'infos et commandes : cliquez ici.
Sur les travaux d'Alphonse Tierou, la presse écrit :
- « Le chorégraphe Alphonse Tierou fait la fierté de tout un continent » Event News TV
- « Avec Alphonse Tierou, on est loin des phénomènes de magie et de transe, mais on entre dans l’analyse des lignes courbes, brisées, horizontales », Dominique Frétard, Le Monde
- « Ce qui caractérise Alphonse Tierou est son regard nouveau posé sur les productions artistiques africaines, sa volonté de s'approprier un domaine jusqu'alors ignoré ou étudié uniquement par des Occidentaux », Africultures, Chloé Maurel.
- « Alphonse Tierou, chorégraphe et chercheur, continue de briser les stéréotypes conçus par les spécialistes européens et américains autour de la danse africaine », A.C., L’Autre Afrique
- « On doit à Alphonse Tierou pas mal de choses dans le domaine de la danse africaine : beaucoup de réflexions et de connaissances sur le sujet…Et puis aussi un livre de référence Dooplé loi éternelle de la danse africaine », JC Dienis, Magazine Danser
- « Avec le Dooplé, les bases théoriques de la danse africaine ont été posées pour la première fois par écrit, offrant ainsi un socle à la création chorégraphique contemporaine africaine », « Une danse, un style : danse africaines », A. Louchart, www.evene.fr
- « Son livre Alphabet de la danse africaine, fruit d’une recherche qui prend en compte les invariants de cet art aux multiples facettes hérité de civilisations millénaires aussi vielles que Babylone se veut une somme d’idées, une base de travail, un outil d’imagination, de questionnement, une autre approche du corps dansant, un autre regard sur l’esthétique africaine. », revue Silence